Je m'assume. J'aime lire de la chick lit, un style littéraire pour les femmes, écrites par des femmes. Les histoires sont modernes et nous représentent bien, la majeure partie du temps. Je viens de finir le premier tome de la trilogie Chick Lit de l'auteure Amélie Dubois, La consoeurie qui boit le champagne.
L'écriture est fluide et on embarque rapidement dans les péripéties des nouvelles célibataires Mali, Coriande, Geneviève et Sacha. On ne s'ennuie pas avec leurs histoires et leurs divers amants. Je vais probablement me procurer la suite en septembre prochain. Je veux savoir ce qui arrive avec les quatre amies.
Il y a un petit détail qui m'a tracassé tout au long du livre, c'est les incongruités dans l'espace temps du récit. Le personnage de Mali (narrateur de l'histoire) est professeure au cégep en Gaspésie. Lorsqu'elle indique les mois et la période de la session, je suis perdue. Par exemple, son personnage assiste à un spectacle de Lady Gaga un 28 mars et indique que ça tombe dans la relâche du cégep. Puis elle revient en disant qu'elle doit compilée les notes de la session dernière (finie en décembre) et préparer son plan de cours pour son nouveau groupe... Je ne sais pas si le système collégial à changé depuis sept ans, mais dans mon temps, la mi-session d'hiver était en mars et mes notes de la session d'automne je les avais au pire fin janvier. Il y a d'autres petites invraisemblances temporelles à quelques reprises, comme quand elle va voir ses amies vers la mi-juin, et après quand elle revient en Gaspésie, elle dit que le mois de juin approche...
Enfin, c'est un roman rafraîchissant qui est idéal pour la période estivale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire