Bien que le
festival était commencé depuis trois jours, c’est seulement dimanche que j’ai
été pour la première fois voir des œuvres cinématographiques présentées.
Bianca
come il latte, rossa come il sangue
(v.f. Blanche
comme le lait, rouge comme le sang)
Réalisé par
Giacomo Campiotti
Scénario de
Fabio Bonifacci et Alessandro D’Avenia
En lisant le
synopsis, je m’attendais à un film assez dramatique. J’ai été surprise de constater
la bonne présence d’humour pour appuyer le côté plus dramatique du scénario.
Dès le générique du début, j’ai accroché. La voix narrative de Leo en début de
film est très rafraîchissante. La réalisation est dynamique et très jeune.
J’ai beaucoup
aimé le casting. Le jeune acteur qui interprète Leo, le personnage principal,
est très charismatique dans son personnage de jeune rêveur et amoureux. Son nom
Filippo Scicchitano.
Il y aussi
Gaia Weiss, qui interprète Beatrice, la fille a la chevelure rouge qui
passionne Leo. Et puis, Aurora Ruffino, dans le rôle de Silvia, la meilleure
amie de Leo. Le reste de la distribution comprend Luca Argentero (le
professeur), Cecilia Dazzi (Angela, la mère de Leo), Romolo Guerrireri et
Flavio Insinna.
Réalisé par
Anne Schiltz
Ce
documentaire s’est retrouvé dans ma liste de films a voir dès que j’ai vu le
titre en feuilletant rapidement la programmation. Étant une ex-violoncelliste,
je trouvais intéressant le sujet.
Je n’ai pas
été déçue. La réalisatrice présente lors de la projection a expliqué par la
suite que l’idée de ce documentaire était d’abord venu avec l’histoire d'Anne-Catherine Gerbaud qui a tout fait pour retrouver le violoncelle volé de son père (Pierre Gerbaud, violoncelliste soliste de l'Orchestre de RTL, maintenant l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg). Elle a ensuite
décidé de démontrer que l’instrument est bien plus qu'un objet, qu'il devient une partie de l'être humain qu'est le violoncelliste. Qu'au final, les deux ne font qu'un.
La base du film ,c'est la rencontre de Mme Gerbaud qui tente de retrouvé le violoncelle Testore 1719 que son père s'est fait volé en 1999. Son père ne s'est jamais remis de cette disparition. Elle nous explique les démarches qu'elle a fait pour réussir à le retrouver à Hong Kong, au bout de six ans de recherches. Et l'attente des quatre ans suivants pour en reprendre possession.
Parmi les participants il y a le soliste Daniel Muller-Schott (qui se prépare pour un concert à Berlin), Tim Ingles (spécialiste des cordes pour l'entreprise de ventes aux enchères Sotheby's) et le luthier Roland Schueler.
En toute fin, on nous dévoile que le film est dédié à la violoncelliste luxembourgeoise Françoise Groben, décédée quelques
jours avant le début du tournage. Cette dernière devait se retrouver dans
quelques scènes du documentaire.
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